sauvetage apres sinistres

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Solutions suite à dégâts des eaux

metiers-degats-eauxLe dégât des eaux est certainement l'un des dommages les plus complexes à traiter, compte tenu des ruissellements des eaux sur les différentes surfaces mais aussi dans les différentes cavités constituant le bâtiment qui a subi ce phénomène. Les dommages sur les biens sont eux aussi difficiles à gérer, compte tenu des différents matériaux tel que :

  • le bois pour les meubles (bois massif ; aggloméré ; médium ; bois exotique, etc…)
  • le métal pour l'électroménager
  • l'électronique pour l'informatique (oxydation)
  • le tissu (ameublement)
  • etc…

Nous sommes en mesure de proposer des prestations correspondantes aux dommages visionnés lors de notre passage. Notre expérience de plus de 20 ans nous permet une bonne analyse de l'ampleur du sinistre, et de commenter les solutions qui doivent être adaptées.
Les matériels mis en place pour gérer cette situation sont en phase avec la problématique, tout en tenant compte des coûts.

Moisissures

Certaines moisissures sont source d'intoxication alimentaire par les mycotoxines qu'elles sécrètent (patuline…). D'autres où les mêmes sont sources de pollution et de contamination de l'air intérieur (pollution intérieure) et d'aliments.
Deux facteurs sont en cause :
  • les composés organiques volatils (COV) qu'elles produisent lors de leur développement et qui sont notamment responsables de l'odeur de moisi ;
  • les spores (parfois allergènes ou responsables d'asthme ou d'irritations des muqueuses).


Une infection pulmonaire (aspergillose invasive) peut affecter les personnes aux défenses immunitaires diminuées (ou auxquelles on a prescrit un puissant antibiotique). Certaines activités exposent les professionnels (agriculture, fromagerie) à pneumopathies d'hypersensibilité lorsqu'une quantité massive de spores est inhalée (manipulation de foin mal séché et moisi par exemple).

La toxicité des moisissures ne dépend pas seulement des espèces.

De plus les toxines produites par les moisissures sont plus résistantes, même à dose faible . Comprendre leur métabolisme et le maîtriser par des techniques précises de préparation et des mesures d'hygiène dans les laboratoires de préparation puis dans la conservation des aliments, permet d'éviter ou limiter très fortement la production des toxines par les moisissures, et donc la contamination des aliments produits par ces sous-produits dangereux.

Merule

Serpula lacrymans, jadis Merulius lacrymans, de son nom vernaculaire, la (le) mérule pleureuse souvent nommée simplement la mérule, est un champignon basidiomycète de la famille des Serpulaceae.
Son épithète de « pleureuse » vient des larmes colorées qu'exsude son mycélium.
On l'appelle aussi « mérule des maisons ».


Peu visible dans la nature , le merule est à l'origine de la pourriture cubique qui dégrade la cellulose, sans toucher à la lignine. Il revêt une importance économique particulière car selon l'Agence nationale de l'habitat, c'est le champignon le plus souvent en cause lors d'attaques en intérieur.
La mérule se manifeste par l'apparition d'une substance semblable à de la ouate épaisse et blanche ou à une toile d'araignée qui vire ensuite au gris.
Les filaments gris argenté du mycélium d'un diamètre de 6 à 8 mm peuvent aller jusqu'à plusieurs mètres de longueur. Ils s'insinuent au cœur du bois et peuvent même traverser la maçonnerie. À l'état sec, les filaments deviennent cassants.
Quelquefois, la mérule se manifeste sous la forme d'un véritable sporophore rond à elliptique à marge de croissance blanche. Le champignon se présente sous la forme d'une masse molle, visqueuse, de un à deux centimètres d'épaisseur et de couleur rouge brun.
Il contient des spores de couleur rouge.

Salpêtre

Le salpêtre et les sels minéraux cristallisant sur les constructions neuves sont des effets secondaires des remontées d'humidité par capillarité dans les matériaux.
Ces dépôts blanchâtres de nitre sont fréquents dans les régions où l'eau est polluée par les nitrates ou naturellement riche en nitrates.
Le salpêtre se présente sous la forme de fibres blanches ayant l'apparence de poils blancs. Dans les caves ou maisons humides anciennes, le salpêtre est l'un des résidus du développement de bactéries qui se nourrissent de l'ammoniac provenant de l'eau du sol et du carbonate de potassium contenu dans les murs. La transformation se termine au contact du dioxygène de l'air pour former le nitrate de potassium ou salpêtre.
On voit souvent ces fibres blanches dans les bâtiments anciens qui ont abrité des animaux ou à proximité d'une ancienne fosse septique, l'ammoniac s'y formant à partir de l'urine. Les sels minéraux se présentent sous forme solide de couleur blanche.
Le salpêtre et les sels minéraux sont présents dans toute l'épaisseur des murs anciens humides et concentrés à la surface des matériaux. Ce salpêtre était autrefois récolté dans les caves ou certaines grottes pour la poudre.

Remontée capillaire

La remontée d'humidité par capillarité désigne la migration de l'humidité dans une Construction depuis le sous-sol et qui s'évapore.
Les termes communément employés pour désigner l'humidité persistante dans les murs anciens sont : remontées d'humidité tellurique, humidité ascensionnelle, capillarité des murs.
L'erreur couramment constatée est la méprise sur la phase de l'humidité ( liquide ou gazeuse).
L'humidité persistante est sous forme gazeuse, sa masse volumique augmente avec la température, cette augmentation de volume va la forcer à monter et envahir les matériaux, drainant les sels qui vont progressivement se charger électriquement.

Condensation

Souvent des signes d'humidité apparaissent sur certains murs causés par des condensations.
Le phénomène s'est amplifié avec l'élévation du coût du chauffage qui conduit d'une part à l'installation de vitrages isolants, de ventilations inappropriées, bouchées ou inexistantes et parfois de chauffage d'appoint sans évacuation (poêles à gaz ou à pétrole sans odeur, notamment) qui sont de gros producteurs de vapeur d'eau.
A chaque baisse de température dans le logement, l'excès d'eau dans l'air se dépose toujours aux endroits les plus froids, créant ainsi une zone favorable aux développement des moisissures.
Pour régler ce problème il faut chauffer (pour augmenter la capacité en eau de l'air), isoler (pour augmenter la température des points froids) et ventiler l'habitation (pour évacuer l'air humide).